Nouvelle maladie sur Lempdes : l’inaugurite chronique galopante

Publié le par Action pour Lempdes

 

 

Une nouvelle maladie se développe chez nos élus de la municipalité : «  l’inaugurite chronique galopante ».


Cette maladie se caractérise par des crises qui suivent toujours le même déroulement.

Chaque accès de la maladie débute par  l’irruption d’un panneau « Lempdes s’embellit ». Celui qui a surgi devant la fontaine du Centre-Ville occupe tout le trottoir depuis plusieurs semaines.

Le stade suivant est  une logorrhée de notre maire  plus ou moins écoutée par ses partisans qui applaudissent poliment. Il en résulte une augmentation importante de la consommation de boissons plus ou moins alcoolisées appelée « pot de l’amitié ».

 

La fin de la crise est marquée quelques jours plus tard par une photo de notre maire en bonne position dans la Montagne et dans le journal de la commune.

Cette maladie chronique semble s’aggraver avec le temps,  à tel point que des crises finissent par se déclencher aux moindres travaux réalisés dans la commune.

A terme, la maladie vide le mot inaugurer  de son sens solennel  qui allie à la fois la notion de consécration et de commencement.


La dernière crise en date est « l’inauguration » organisée par notre Maire au terme  des travaux de réfection de la fontaine du Centre-Ville de Lempdes avec sa forme caractéristique ronde que les Lempdais connaissent bien. Ramenons les choses à des dimensions moins pompeuses. Cette fontaine a été bâtie et inaugurée véritablement  il y a plus de 15 ans. Laissée dans un état déplorable pendant plusieurs mois depuis la fin 2010, elle a enfin fait l’objet de travaux de réfection pour redonner à cette partie de Lempdes la réhabilitation qu’elle mérite et qu’elle avait perdue.

 

D'autres articles du blog qui pourraient vous intéresser

REFLEXION D'UNE FONTAINE :

Et deux Gérards de plus, deux...

Ils n’ont rien compris.

  Billet d'humour de Papy Toinou : rue Boileau

 

Publié dans actu Lempdes

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article