Les lempdais ont révé
Ils avaient révé
d’un maire présent chaque jour dans sa commune quimettrait son energie au service exclusif de ses concitoyens et de sa ville,
Ils avaient rêvé d'un maire qui les recoive rapidement en cas de besoin, d'un maire qui ait une une égale considération pour tous les lempdais quelle que soit leur opinion religieuse ou politique.
d’un maire qui ne se consacre qu’à son mandat municipal.respectueux de ses employés et à leur organisation représentative.
Ils avaient révé d’un maire qui gère les finances de sa commune avec responsabilité
et assume ses décisions et ses erreurs.
Ils avaient révé d’un maire qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour protéger notre environnement Gérard Betenfeld et l'incinérateur
Ils avaient révé d'un maire qui prend acte des opinions différentes des siennes.
Malheureusement chacun d'eux s'est réveillé pour se retrouver face à la réalité.
La réalité d’un maire qu’il est difficile de rencontrer. De nombreuses permanences et rendez-vous avec lui sont annulés Vous souhaitez rencontrer notre maire cette semaine : Dommage!!
La réalité d’un maire qui mène un projet de reconstruction à l'identique dune ’école au budget final s’élevant à deux millions d’euros et qui fait la part belle aux énergies fossiles La nouvelle école de la Fleurie : Le chantier de tous les excès et des rendez-vous manqués. .
La réalité d’un maire qui est près à toutes les compromissions pour se faire réélire aux élections cantonales et dont l’énergie est mise au service de son ambition personnelle.( La métamorphose du caméléon : Comment reprendre de la couleur )
La réalité d’un maire qui n’admet pas que ses employés municipaux critiquent la réorganisation des services qu’il mène en dépit du bon sens(.Nouvelles organisations (ou… désorganisations!) des services municipaux de Lempdes)
La réalité d’un maire qui laisse les rues de la commune (Etre ou ne pas être du bon côté se dégrader et dont l’agenda 21 est en panne.
La réalité d’un maire dont la communication faite pour son unique faire valoir est si abondante qu’elle commence à lasser même ses colistiers.
Enfin la réalité d’une démocratie participative qui ne demeure qu'un slogan de campagne LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE, PARLONS-EN !
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