Le pouvoir d’achat du Lempdais moyen mis à mal par la mairie pendant 4 ans.

Alors que chaque foyer lempdais se bat pour conserver son pouvoir d’achat, le choix politique de l’équipe municipale de ne pas baisser les taux d’imposition a abouti à une augmentation considérable des impôts locaux.

Pour le voir, il suffit de prendre ses feuilles d’impôts locaux et de faire le calcul.

En 4 ans, de 2008 à 2012, la part communale de la taxe d’habitation s’est  accrue de 8.2 pour cent et celle de la taxe foncière de 7.6 pour cent, voire de près de 20 pour cent si on y ajoute la nouvelle taxe spéciale d’équipement de Clermont Communauté votée par notre Maire.

La taxe foncière est payée par plus des deux tiers des foyers lempdais propriétaires de leur logement.

Dans le contexte de crise que nous connaissons, n’aurait-il pas été plus opportun de mener une réelle politique de modération fiscale des impôts locaux municipaux ?

Non content d’avoir fait ce choix, Gérard Bétenfeld ne l’assume pas.

En effet, lors de la présentation de son rapport d’activités en décembre dernier, il a affirmé : « Nous n’avons pas augmenté les impôts locaux pour ce qui est des taxes communales. » C’est avec stupeur que nous avons entendu son adjoint aux finances Gérard Diebold reprendre cette même phrase mot pour mot.

Cela démontre une fois de plus le fossé entre la communication de notre mairie et la réalité vécue par les citoyens lempdais.